Ambre est née à Paris. Après des études de langues qui l’amènent rapidement à mener une carrière intense dans le commerce international, elle décide, il y a 11 ans, de poser ses valises à Lyon. La proximité des montagnes, le dynamisme culturel, l’aéroport faisaient de Lyon le spot idéal pour vivre et travailler de façon plus apaisée tout en étant connectée à l’international.

Passionnée par l’entrepreneuriat, Ambre ne se doutait pas que ce déménagement serait le point de départ d’une nouvelle aventure à la fois écologique, sociale et business ! Et pourtant, c’est ici qu’elle va se réinventer en décidant d’implanter en 2020 la filiale de la start-up franco-néerlandaise dont elle est actionnaire : Nowos.

Nowos, c’est un pari un peu fou et pourtant c’est un enjeu majeur : réparer et recycler les batteries en lithium-ion que l’on trouve partout sur les scooters, vélos, trottinettes électriques…mais dont personne ne sait gérer la fin de vie.   Et c’est bien ça qui motive Ambre : donner un avenir à ce qui semble ne plus en avoir !

Tout naturellement, elle choisit donc un site industriel en déclin, dans la zone rurale d’Amplepuis, pour Nowos. Là, depuis 2 ans, elle donne une nouvelle vie à des batteries certes mais surtout elle donne un nouveau souffle à des vies et des carrières en formant et en embauchant des personnes en reconversion ou au chômage.

Aujourd’hui, Nowos est précurseur en Europe sur le marché de la réparation des batteries. C’est une vraie réussite. Pour Ambre, c’est une fierté surtout d’avoir concrétisé une activité professionnelle basée sur l’économie circulaire, un principe auquel elle croit plus que tout. Enfin, c’est une sérénité au quotidien d’avoir pu le faire à Lyon, une ville qui a porté et soutenu son énergie insatiable d’agir et de faire changer les choses. Aux puces, où elle adore se rendre pour chiner, elle le confirme : donner une seconde chance aux personnes, aux lieux, aux objets, c’est avant tout donner une chance à l’avenir.

Agir ici. Changer demain.

Diane est née à Marseille et dès son plus jeune âge, elle a su ce qu’elle voulait faire : dessiner.

À 18 ans, elle part à Lyon pour rejoindre les cours de l’école d’illustration Émile Cohl qui lui donneront les clés de son rêve. Là, elle s’y révèle, s’adonne à sa passion. Après quatre années d’apprentissage intense qui changeront sa vie, elle commence sa carrière ici à Lyon, dans le jeu vidéo puis s’envole pour l’Irlande et le Canada. Là-bas, elle multiplie les expériences et les techniques dans le dessin animé, l’animation 2D…

Finalement après plusieurs années d’expatriation, c’est à Lyon qu’elle reviendra poser ses valises pour poursuivre sa carrière, fonder une famille mais aussi et surtout pour enseigner à son tour le dessin à l’école Émile Cohl. Transmettre son savoir, partager son talent, c’est essentiel pour Diane qui voit dans ce retour à la case départ comme une façon de remercier le destin, d’aider les talents de demain à éclore et surtout comme un moyen d’encourager toujours plus la créativité. La créativité ? Celle de Diane est intarissable. Pour elle, tout est prétexte à découvrir, apprendre, créer et s’inventer des histoires. D’une imagination et d’une curiosité foisonnante, elle puise son inspiration aussi bien dans le cinéma, la culture pop, les nouvelles technologies que les peintres préraphaélites du 19ème.

À Lyon, elle n’hésite pas à faire des ponts entre l’architecture lyonnaise et la science-fiction ainsi en parcourant la ville à ses côtés, le musée gallo-romain se transforme en un vaisseau spatial et l’Auditorium de Lyon devient une soucoupe volante venue d’un univers lointain. Diane l’avoue volontiers : si elle n’avait pas été illustratrice, elle aurait aimé être astrophysicienne …. pour avoir toujours la tête dans les étoiles peut-être ? Quand elle est n’est pas dans un de ses truculents mondes imaginaires, Diane travaille dans son atelier à Lyon. La ville nourrit son inspiration, lui permet de souffler aussi et de profiter de sa famille.

En flânant sur les quais, un lieu qu’elle aime beaucoup arpenter avec ses enfants, Diane s’imagine déjà devant sa feuille blanche à expérimenter de nouvelles techniques pour retranscrire la beauté d’un ciel, à dessiner ici, à imaginer demain.

Agir ici. Changer demain.

Elle a grandi entre Lyon et Grenoble, mais la ville qui lui a permis de « naître une seconde fois » comme elle le dit, c’est Lyon. Jamais elle n’aurait pensé que la décision d’y venir pour suivre des études d’hôtellerie-restauration aurait un tel impact positif sur sa vie et l’amènerait un jour à représenter la France à l’international.

Et pourtant… Alors qu’elle n’a que 15 ans, Lisa a pris sa décision. Comme sa grand-mère et ses parents, elle travaillera dans un métier lié au service auprès des autres. Elle choisit ainsi de rejoindre le lycée hôtelier François Rabelais de Lyon-Dardilly. Là, elle se découvre une passion pour le poste de réceptionniste, un métier qui nécessite d’aller au contact des personnes. Pour Lisa, qui se croit timide et renfermée, c’est un véritable déclic. Aussi, alors que bien d’autres de ses camarades s’orientent vers les métiers de bouche, Lisa, elle, en est persuadée : elle sera réceptionniste dans un palace ou un hôtel cinq étoiles. À Lyon, où elle décide de poursuivre un BTS Management en Hôtellerie- Restauration, elle se sent à sa place. La ville est parfaite pour accueillir son enthousiasme, sa détermination et son énergie.

Et Lyon va se révéler surtout un formidable accélérateur de carrière grâce à la proposition de l’une de ses professeurs d’intégrer WorldSkills, l’Olympiade internationale des métiers. Ce concours, qui a pour objectif de mettre en avant l’excellence de l’apprentissage et les savoir-faire des professions, s’appuie sur des épreuves de mise en situation concrète. Le sujet des finales nationales est parfait : être la meilleure réceptionniste-conciergerie de Lyon. Alors, Lisa révise, apprend et découvre tout sur la ville qui l’a vue s’épanouir.

Et la ville de Lyon lui portera chance. En janvier 2022, elle remporte la finale en décrochant la médaille d’or des Worldskills France de sa catégorie. Aujourd’hui, Lisa travaille dans un grand hôtel parisien. Au jour le jour, elle se voit comme une chef d’orchestre qui doit veiller au bien-être de ses clients dès qu’ils franchissent la porte. En termes de franchissement, Lisa ne s’arrête pas. Désormais, elle a intégré l’équipe de France des prochains Wordlskills 2024.

Demain ? Elle reviendra s’installer à Lyon, la ville où tout a commencé pour elle, la ville où tout peut changer pour qui sait accueillir son destin.

Agir ici. Changer demain.

Ruba et Mhiar sont nés en Syrie. Là-bas, avec son double master en banque et en relation publique, Ruba se destine à travailler dans la finance. Mhiar, lui, est journaliste. En 2011, la révolution syrienne fait basculer leur vie et s’effondrer leurs espoirs. Leurs engagements contre le régime les mettent en danger de mort, eux, mais aussi leurs familles respectives. Après plusieurs peines d’emprisonnement, une seule option subsiste s’ils veulent s’en sortir : fuir et quitter la Syrie. Ainsi, un long exil commence pour Ruba et Mhiar. Il durera plusieurs années. D’abord à Dubaï, puis en Turquie où ils pourront se marier. À chaque fois, ils reconstruisent leur vie, entreprennent une carrière, lancent leurs entreprises. Mais à chaque fois, l’impossibilité de renouveler leurs visas les pousse à devoir partir. En 2016, grâce à l’appui de deux journalistes français aidés par la famille de Mhiar en Syrie, le gouvernement français leur donne la possibilité de se réfugier en France.

En arrivant à Lyon, Ruba et Mhiar sont saisis par la tranquillité et l’esprit de liberté quisoufflent dans la ville. Pour la première fois, depuis longtemps, à la place des Terreaux, ils se mettent à rêver. Ils apprennent la langue française et décident de se lancer dans la restauration parce que la cuisine est une passion transmise par leurs parents, mais aussi
parce que désormais c’est un héritage à protéger, un legs que leur vie d’exil a renforcé. Ils comprennent vite que question papilles, Lyon est un formidable terrain de découverte et d’apprentissage. Leurs premiers échanges avec les Lyonnais portent sur leur amour commun pour la tradition culinaire et facilitent ainsi leur intégration. Ruba a la fibre
commerciale, Mhiar, le talent. Leur volonté et leur énergie insatiable leur font alors bouger des montagnes.

En 2018, à force de travail, de ténacité et de beaucoup de belles rencontres, l’aventure de La Petite Syrienne démarre à Villeurbanne. D’abord foodtruck, ils ouvrent ensuite leur propre restaurant, puis font service traiteur et dernièrement laboratoire culinaire… Aujourd’hui, la Petite Syrienne est devenue grande et ne cesse de se développer à l’image de la générosité de Ruba et Mhiar qui désormais accompagnent et forment les nouveaux arrivants. « Aider les autres, comme ils nous ont aidés » pour leur redonner gout à la vie, pour leur redonner envie d’agir ici et faire avancer demain : c’est leur plus belle revanche sur le destin.

Agir ici. Changer demain.

C’est l’un des plus grands sportifs Français, un de ceux qui, qui tout au long de sa carrière n’a cessé de faire parler de lui. Et désormais une des personnalités qui forgent l’avenir de la métropole lyonnaise. Il a gagné tout ce qu’un basketteur rêve de gagner : des débuts au Paris Basket Racing en 1999, drafté par les Spurs de San Antonio en 2001, où il restera jusqu’en 2018. Quatre titres de champion NBA, six participations aux NBA All-Star Game, MVP des finales NBA en 2007… Dans un sport ultra compétitif et trusté par les grandes nations historiques du genre. Mais son cœur est en France : souvenez-vous du titre de champions d’Europe en 2013 avec les bleus, de ces phases finales Olympiques mythiques, notamment face aux USA.

Il n’hésite pas à le clamer haut et fort : la France lui a tout apporté, il veut lui donner en retour. Et ça se passe ici, à Lyon, en inventant une seconde partie de carrière ambitieuse, entreprenante et inspirante pour les jeunes générations.

À Villeurbanne, il s’investit à l’ASVEL, ce club mythique qu’il affrontait lorsqu’il avait 17 ans. Pour les fans de basket, l’ASVEL se passe de présentation. Pour les autres, l’ASVEL, c’est le club le plus titré de l’hexagone, c’est Alain Gilles, joueur emblématique de la discipline…

Tony a un objectif clair en tête : faire de cette équipe une référence en Europe.

En parallèle, il a également créé la Tony Parker Adéquat Academy : une école hybride entre sport, passions et emploi. On y transmet le sens du dépassement de soi qui permet à de jeunes passionnés de se construire un projet de vie. Un projet fondateur de cette seconde “vie” pour Tony, qui a à cœur de donner de l’espoir aux jeunes.

C’est à Lyon qu’il vit désormais avec sa famille. Un choix porté par les valeurs humaines du territoire, par son cadre de vie équilibré, par l’ambition de ceux avec qui il a monté tous ces nouveaux projets.

Pour Tony, c’est une nouvelle vie qui commence ici. Au service d’un territoire et de ses futurs talents.

Agir ici. Changer demain.